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JEUDI 27 NOVEMBRE 2014 :

20h30 - ALFIO ORIGLIO invite STÉPHANE ÉDOUARD & ALEM

ALFIO ORIGLIO invite STÉPHANE ÉDOUARD & ALEM

Trio Claviers, Percussions et Beatbox

Rencontre des cultures et des générations que ce trio entre Alfio Origlio, Stéphane Édouard et Maël Gayaud alias
 Alem. Star du beatbox issu de l’univers Hiphop, Alem est vice-champion du monde 2012 et champion de France 2013 (human beatboxer).

Né en France dans une famille originaire du sud de l’Inde, Stéphane Édouard est un ovni musical: autodidacte, il s’est nourri de sa culture familiale et de tous les univers où il a évolué depuis l’âge de 7 ans. Rythmes indiens, rock, jazz, rythmes cubains ou africains, il y a développé un style propre, magique et envoûtant à chaque apparition sur scène.


ALEM utilise le nez, la bouche, les cordes vocales, les dents, la langue, la gorge et le souffle, le tout allié à une grande créativité, c’est ainsi que l’on peut définir le human beatbox, comme l’art d’utiliser le corps comme unique instrument de musique. Il superpose non pas deux ni trois mais quatre, voire cinq instruments à partir de sa bouche. L’enchaînement est si rapide que l’illusion auditive est parfaite.


La magie de ce trio réside dans l’improvisation et la complicité qui s’installent entre Alfio, Stéphane et Alem, tantôt accompagnateur, tantôt soliste, les trois artistes se relancent et se répondent dans une communion remplie de nuances et de sensibilités.

Ce concert s’adresse à toutes les générations, et permet notamment de s’adresser à un public inter-générationnel où les adolescents et les jeunes adultes trouveront une clé pour fréquenter un lieu de concert.

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Alfio Origlio est un pianiste compositeur, explorateur de nombreux courants musicaux, Le Grenoblois Alfio Origlio a le doigté aussi fin que son CV est large : Salif Keïta, Boby Mc Ferrin, Manu Katché, Me’shell Ndegeocello, Pino Paladino, Chris Potter, Stacey Kent, Michel Jonasz, Henri Salvador, Keziah Jones, Erik Truffaz, Daniel Humair, Michel Colombier, Stephano Dibattista, Didier Lockwood, André Ceccareli, Hernie Watts,  Michel Legrand ou Bob Mintzer ont tous eu besoin des services du pianiste à un moment ou un autre.

Discographie en tant que soliste – ALFIO ORIGLIO 4tet- LIVE FIVE – PASSEGGIATA – RICCORDO-ASCENDANCES -TRIBUTE TO HEADHUNTERS – WINGS AND NOTES –ACQUA

Stéphane Edouard

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Originaire du sud de l’Inde, Stéphane Edouard est né en France en 1976. Dans sa famille, la musique est un art que l’on partage et chacun chante ou joue d’un instrument lors de réunions hebdomadaires où sont joués les tubes de Bollywood des années 60 à 80. Les musiques hindoustanie et carnatique bercent également son enfance et lui apportent la connaissance des « tal » (rythmes indiens). La musique indienne est donc sa première source d’inspiration lorsque Stéphane Edouard commence les percussions à l’âge de 7 ans. De cette époque, il a hérité d’une grande aptitude d’improvisation et d’une aisance rythmique qui l’ont amené à travailler avec des artistes de tout bord. A l’adolescence, il découvre le rock et le jazz et à travers ces musiques, la batterie qu’il commence à pratiquer à l’âge de 12 ans. Cet autodidacte puise aux sources des différentes traditions qu’il rencontre, du jazz actuel en passant par la musique cubaine et africaine, ce qui lui donne son originalité et son « groove » et qui permet d’identifier cet artiste dès les premières mesures.

Très vite, Stéphane Edouard décide de travailler sur son propre son et il crée un set de percussions personnel qui mêle les sonorités et les traditions musicales, à l’image de cet artiste cosmopolite et curieux de tout. Il fait ses premiers pas sur la scène musicale de Cergy où il a grandi, puis descend à Paris où il travaille avec de nombreux musiciens. Il accompagne des artistes comme : Aldo Romano, Frank Mc Comb, Gene Lake, Daby Touré, Nicolas Genest, Stéphanus Vivens, Magic Malik, Flavio Boltro, Rosario Guliani, Daniel Romeo, Pierre-Louis Garcia, Anga Diaz, Nelson Verras. En 2005, il enregistre aux côtés de Sixun (pour la sortie d’un DVD et double CD fêtant leur retour sur scène) et participe à la tournée 2006. Il tourne également avec le quintet de Christophe Wallemme aux côtés de Stéphane Galland, Stéphane Guillaume et Manu Codja. Depuis 2007, Stéphane Edouard travaille aux côtés de Michel Jonasz qu’il accompagne actuellement en trio avec Guillaume Poncelet. En 2008, il participe au nouvel album de Sixun www.youtube.com/watch?v=DmXge2pSzWE motsbulles.fr/blog/motsbulles/?p=691

Alfio Origlio & ALEM

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ALEM Vice Champion du Monde « Je suis né dans une famille de musiciens, de ce fait j’ai toujours baigné dans un univers musical. J’ai commencé à pratiquer la guitare à l’âge de 6 ans. Puis à 11 ans, j’ai découvert les percussions et la batterie. A partir de ce moment, cette voie est devenue un moyen inépuisable d’expressions. Instinctivement j’ai toujours imité avec ma bouche les rythmes que je faisais en batterie. Un jour, mon grand frère m’a dit  » ce que tu fais là, ça s’appelle du beatbox « . C’était en 2006, j’étais en 4ème. Depuis la découverte de ce « monde » musical, je n’ai pas lâché le beatbox ! En 2008 à Lyon, pendant la fête de la musique, j’ai rencontré le beatboxer « BMG ». C’était la première fois que je pouvais partager ma passion avec quelqu’un qui me comprenait. Cette rencontre m’a lancé dans l’aventure des compétitions : championnats de France, battles européens et internationales où j’ai remporté de nombreux premiers prix dont récemment celui de vice-champion du monde. J’ai aussi collaboré à plusieurs projets musicaux ( groupe de Jazz, gospel, musique irlandaise, bretonne… ) ce qui m’a permis d’élargir mon expérience scénique. Ce parcours m’a conduit au désir de transmettre ma passion et mes expériences. Aujourd’hui en tant qu’artiste intervenant, j’anime des ateliers pédagogiques en milieu scolaire, associatif et écoles de musique. »

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    EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
    Mai 2012: Master class pour adultes et intervention scénique avec des groupes de musique traditionnelle bretonne (Bretagne).
    Mars 2012: Vice-champion du monde (Allemagne).
    Mars 2010 à Mars 2012: 1ère place au championnat européen (Maurepas), au Human beatbox battle (Bordeaux), au Battle TKO Nantes) et au Battle Hip-hop addict Beatbox (Perpignan). Avril 2012: Interventions en milieu scolaire (Isère 38).
    Février 2011 à Mars 2012: Ateliers pédagogiques en centre culturel pour enfants (Rhône Alpes et Isère)
    Septembre 2011: Grand prix du festival Talent de scène et 1ère place de la catégorie arts annexes (Nevers).
    Avril 2010: Convention internationale, prestation scénique (Suisse).
    Novembre 2010: Vice-champion de France (Le Mans).
    Septembre 2008 à 2009: Collaboration musicale Beatbox-Gospel (Lyon).
    Voici différentes vidéos, Démonstration classique: http://www.youtube.com/watch?v=sOnz_bCmSrU /  Démonstration à thème: http://www.youtube.com/watch?v=cBkDVf1b3zY / Show à Zurich: http://www.youtube.com/watch?v=DAARYSY9CCM / Finale du championnat du monde 2012 : http://www.youtube.com/watch?v=xVAka_y3BC0

    Fermeture


22h15 – BONEY FIELDS & THE BONE’S PROJECT

boney-fileds-1-600x357Boney FIELDS : Trompette

  • Pierre CHABRELE : Trombone
  • Mike ARMOOGUM : Basse
  • Hervé SAMB ou Alex SOUBRY : Guitare
  • Nadège DUMAS : Saxophone
  • Jerry LEONDE : Claviers
  • Partout où ils passent, Boney Fields & The Bone’s Project laissent derrière eux une sacrée impression. 



    Comme une traînée de poudre hautement énergétique, à force de dispenser généreusement ce blues mâtiné de funk qui rassemble et rallie les foules dans une belle communion. Dynamisé par son leader, le trompettiste-chanteur-auteur-compositeur Boney Fields, ce combo gagne de plus en plus d’adeptes.



    Depuis une dizaine d’années qu’il a fondé son propre groupe, le musicien aux chapeaux ronds a fait son chemin. S’il vient du Chicago blues, il en élargit les contours avec opiniâtreté et une détermination farouche.

 Amateur de soul, de groove, de jazz, Boney Fields comme quelques autres musiciens de sa génération, sait que la vie du blues passe par son renouvellement. Avec humilité et conviction, il trace sa voie et trouve en chemin sa propre originalité.

Dans son époque, mais imprégné de l’héritage de ses devanciers, Boney Fields prouve que le blues a de beaux jours devant lui.


    Romain Grosman

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    Presse

    « La « grand’ messe » jazz, blues, soul, funk, reggae allait faire des ravages. Et, elle en a fait ! (…) La pression ne redescend que très rarement. (…) Il y a aussi un mot d’ordre pour tous, dans ce groupe, prendre du plaisir sur scène et le partager. (…) Soirée conseillée à tous ! (…) 
On espère que d’autres programmateurs auront la bonne idée de programmer ce groupe en Languedoc Roussillon. SOIREE BLINDEE ET ASSUREE ».

    « Avec Boney Fields et son Bone’s Project il se passe toujours quelque chose, quelle que soit la salle ou la scène du festival où ils se produisent. 
Boney fut grand, et fit se lever et danser un public pourtant plus habitué à venir boire un verre en toute tranquillité après une journée de congrès ou de voyage. 
En véritable maître de cérémonie, Boney Fields lance la mécanique bluesy et funky de son Bones’ Project, faisant d’un coup monter la fièvre. 
Comme à chaque fois, la magie opère, de suite. Le public tape dans les mains, commence à tanguer, avant de se lever au cours du second set, et de danser. Un public du Jazz Club Etoile que très rarement, si ce n’est presque jamais, nous n’avons vu danser comme ces soirs-là. 
Alors un conseil, ne les ratez surtout pas lors de leurs prochains concerts »
    Frankie « Bluesy » Pfeiffer – Paris Move
    Sylvain ROBERT – Crops Blues Mag

    Boney FIELDS & the Bone’s Project : un creuset bouillonnant de grooves Funk, Blues, Rhythm’n’blues .. A ne pas manquer !!
    L’Hérault du jour

    « Avec Boney FIELDS aux commandes on est sûr de passer un bon moment. C’est vivant, ça bouge, ça groove et plein d’énergie. Il a ce charisme rare qui permet de captiver et de faire vibrer une salle très rapidement. En plus d’être un excellent trompettiste, c’est un très bon chanteur et plein d’humour. 
Avec lui on passe de James Brown à Lowell Fulson et Junior Wells sans états d’âme et sans heurts, la filiation semble d’un coup évidente et naturelle. Il faut dire que le groupe qui l’accompagne est vraiment excellent (…)
La section cuivres est la fondation du Combo. Je la trouve tout simplement sans failles. (..)
 Sur les trois heures de concert, outre les nombreuses reprises, on peut découvrir les compositions originales du groupe. Elles sont vraiment excellentes et couvrent toutes les influences du groupe, notamment africaines. On les retrouve sur leur premier CD « Hard Work » que je vous conseille (..), mais c’est sur scène que ce groupe prend toute sa dimension et retrouve sa belle alchimie ».
    
La Gazette de Greenwood – Christophe Godel

    « Ce maître du Funk qui a commencé sa carrière à Chicago à la fin des 70’s se situe dans la lignée des James Brown ou Earth Wind and Fire. Ses cuivres chauds, son groove flamboyant ont déjà plus d’une fois illuminé l’Ile de la Jatte « . « Boney FIELDS, sa trompette et son groupe distillent un jazz énergique qui fait la part belle au Funk. Mercredi, il ne restait plus une seule place de libre dans les gradins. La soirée a commencé très fort avec un Boney FIELDS funky à souhait qui a réussi à faire grimper la température et à faire danser son public, grâce à un soupçon de blues et une bonne dose de funk « .
    Le Télégramme de Brest

    « Longtemps dans l’ombre des meilleurs du Chicago Blues comme du Funk, l’excellent trompettiste américain brille désormais à la tête de sa propre formation Rhythm’n’blues the Bone’s project : une tornade groovy! »
    Vendredi Midi Loisirs

    Fermeture

    VENDREDI 28 NOVEMBRE 2014 :

    20h30 – THOMAS ENHCO &VASSILENA SERAFIMOVA

    Thomas Enhco récemment auréolé d’une victoire du Jazz (Révélation 2013), l’occasion de faire un point en musique sur ses projets en cours ! Il présentera pour l’occasion un concert unique, en DEUX parties : Duo piano-marimba (avec Vassilena Serafimova), et son trio « Fireflies » avec Jérémy Bruyère contrebasse et Nicolas Charlier batterie.

    Bercé dès son plus jeune âge par la voix de sa mère, la soprano Caroline Casadesus, Thomas Enhco a trois ans lorsqu’il commence le violon, six quand il découvre le piano, et douze lorsqu’il rencontre Didier Lockwood, qui lui enseigne le jazz.

    Lauréat du Django d’Or 2010 dans la catégorie « Nouveau talent », et « Révélation jazz de l’année » aux Victoires de la musique 2013, ce musicien prodige est déjà l’auteur de trois albums, dont le dernier, « Fireflies », eut en 2012 un succès critique considérable qui lui ouvert les portes d’une reconnaissance internationale.

     

    1ère partie Thomas Enhco & Vassilena Serafimova

    Dans les multiples facettes de Thomas Enhco se cache un duo étonnant qui oscille entre classique et jazz.
    Accompagné de la percussionniste classique Vassilena Serafimova – qui joue ici le Marimba – il reprend avec une fraîcheur et une rigueur qui font sa signature un répertoire qui va de Bach à Chick Corea en passant par Astor Piazzolla.

    Vassilena Serafimova a débuté ses études de percussion en Bulgarie, sa terre natale, avant d’entrer au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Lauréate de nombreux prix internationaux, elle donne de par le monde de nombreux concerts tout en collaborant régulièrement avec vidéastes, mimes, danseurs, ou comédiens. Elle signe en 2011 son premier CD chez Intégral Classic.

    UN DUO EXPLOSIF DE VIRTUOSES HORS DU COMMUN DONT LE LYRISME PUISSANT ET LES RYTHMES DÉCHAINÉS FONT ÉCLATER AVEC UNE INTELLIGENCE MUSICALE UNIQUE LES FRONTIÈRES ENTRE CLASSIQUE ET JAZZ. ACCROCHEZ-VOUS !
    EN 2012, THOMAS ENHCO A ENREGISTRÉ DANS LES MYTHIQUES STUDIOS NEW-YORKAIS AVATAR UN ALBUM AVEC LES CÉLÈBRES JACK DEJOHNETTE, BATTEUR QUI A JOUÉ AVEC MILES DAVIS OU KEITH JARRETT, ET JOHN PATITUCCI, CONTREBASSISTE QUI A NOTAMMENT ACCOMPAGNÉ CHICK COREA’S ELEKTRIC BAND OU STAN GETZ.
 


FRANCE-AMERIQUE.COM

    Interprétation Thomas Enhco (piano) et Vassilena Serafimova (marimba)

    Répertoire Bach, Mozart, Piazzolla, Saint-Saëns, Enhco, improvisations

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    www.thomasenhco.com

     

    vassilena--serafimova-1-600x400
    www.vassilenaserafimova.com

    Fermeture


    22h15 – THOMAS ENHCO TRIO

    Thomas Enhco piano, Jérémy Bruyère Contrebasse, Nicolas Charlier Batterie

               t-enhco-trio-1-600x338Jérémy Bruyère         Thomas Enhco     Nicolas Charlier

     

    Victoire du jazz 2013 catégorie « révélation de l’année », maitrisant les codes et absorbant les influences avec une facilité déconcertante, ce jeune pianiste prodige s’affirme comme un des musiciens majeurs de sa génération. Il offre aujourd’hui des compositions qui placent constamment la mélodie au centre de tout.

    Comme les lucioles de son dernier opus « Fireflies », il éclaire de scintillements palpitants et fragiles le clair obscur d’une musique au lyrisme feutré…

    L’Art du trio magnifié par trois musiciens passionnés et d’une sincérité absolue.

    Presse

    À Tokyo vendredi, à l’île d’Yeu samedi, à Stuttgard dimanche… Même décalée, la Folle journée garde un rythme fou. Malgré le jet lag et les fatigues du voyage, les trois musiciens du groupe Encho trio ont conquis leur public, samedi soir, au Casino.

     

    Thomas Encho au piano, Jéremy Bruyère à la contrebasse et Nicolas Charlier à la batterie ont offert aux quelques 150 spectateurs un grand plaisir musical. Des morceaux d’inspiration personnelle, des reprises de thèmes plus classiques développés à leur fantaisie, des improvisations, les musiciens ont emmené le public à leur suite.

    Ces jeunes gens, qui n’ont pas la trentaine, font preuve d’une grande complicité sur scène. Ils l’ont acquise au cours de leurs tournées aux quatre coins du monde.

    Lauréat de nombreux prix, dont les Victoires de la musique 2013, section jazz, Thomas Encho est applaudi en solo, duo ou trio sur de très nombreuses scènes : 130 concerts dans l’année, sur quatre continents et 14 pays. Alors, cette escale dans une petite île, avec un public enthousiaste, laissera au trio un souvenir particulier. Journal Ouest France

     

    THOMAS ENHCO TRIO

    FIREFLIES

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    Nicolas Charlier batterie                 Thomas Enhco piano               Chris Jennings contrebasse

     

    THOMAS ENHCO TRIO

    Après Someday my Prince will come, Thomas Enhco revient avec son nouvel album (sorti chez Label bleu), Fireflies, sur lequel il est accompagné de Chris Jennings et de Nicolas Charlier, n’ayant pas perdu la grâce et l’ingénuité de son

    Jazz à Fareins Edition 2014 / Dossier Presse

    jeu qui a déjà séduit les spectateurs amiénois. L’art du trio à son sommet !

    Protégé de Didier Lockwood auprès duquel il fait ses armes, Thomas Enhco débute dès l’âge de 9 ans sur la scène du festival Jazz à Juan lors d’un concert du violoniste. Il suivra par la suite les cours dispensés à l’école de ce dernier et profitera de cet entourage propice aux rencontres pour se mesurer à Billy Cobham, Mike Stern, Bireli Lagrène, Peter Erskine ou André Ceccarelli. Il y a une forme d’ingénuité et beaucoup de grâce dans le jeu de Thomas Enhco. Son approche du clavier révèle une grande facilité due, sans aucun doute, à ses années de Conservatoire. Thomas Enhco aurait aussi bien pu envisager une carrière dans la musique classique mais, fidèle à ses débuts précoces, il a préféré le jazz sans négliger par ailleurs un goût prononcé pour les mélodies pop. Il forme son premier groupe Thomas Enhco & Co à seulement 14 ans. En 2008 lors d’une tournée au Japon, il est repéré par Itoh Yasohachi, un des plus grands producteurs de jazz japonais qui produit son deuxième album Someday My Prince Will Come.

    À 24 ans, il a déjà un palmarès impressionnant que justifient amplement ses talents de compositeur en herbe comme sa capacité à revisiter avec beaucoup d’entrain et d’imagination les standards du jazz. Les spectateurs d’Amiens ont été tous séduits et épatés par sa prestation lors de art, villes & paysage – hortillonnages en 2011.

    à propos de son nouvel album FIREFLIES, sorti chez Label Bleu / Maison de la Culture d’Amiens

    Thomas Enhco nous présente son tout dernier album en trio, Fireflies, paru en septembre 2012 chez Label Bleu. Pour ce troisième album en tant que leader, ce jeune pianiste, valeur montante de la scène jazz internationale, a pris les choses en main. Tout d’abord en s’entourant de musiciens qu’il apprécie tant pour leurs qualités musicales que pour leurs valeurs humaines : Chris Jennings à

    la contrebasse et Nicolas Charlier à la batterie. Le lauréat du prix Django Reinhardt 2010 signe ici un album personnel – celui de la maturité ? – où il laisse transpirer ses influences tout autant qu’un penchant de sa personnalité que l’on connait moins : empreint de nostalgie et de mélancolie.

    Fireflies reste cependant un album lumineux, solaire. L’équilibre du « trio Jazz » y est parfaitement maitrisé, dans le jeu comme dans le son, et n’est pas sans rappeler les plus grands enregistrements des heures dorées du Jazz. saison 12/13 – dossier de presse THOMAS ENHCO TRIO – p. 3

    PARCOURS

    Thomas Enhco

    Thomas Enhco est né à Paris le 29 septembre 1988. Il commence le violon à 3 ans et le piano à 6 ans, étudie le classique et le jazz dans les deux instruments, écrit ses premières compositions et donne ses premiers concerts au sein d’un groupe d’enfants. En 1998, à l’âge de neuf ans, il est invité par Didier Lockwood à jouer au festival de Jazz d’Antibes Juan-les-Pins. À 10 ans, il interprète de petits rôles dans des films ; à 12 ans, il entre au Centre des Musiques Didier Lockwood en piano et violon. Il étudie le piano classique avec

    la concertiste Gisèle Magnan, et intègre le CNSMDP en Jazz et Musiques Improvisées à 16 ans. À 14 ans, il forme son propre groupe, Thomas Enhco & Co, puis il compose et enregistre son premier album, Esquisse (parrainé par Peter Erskine), paru en mars 2006 chez Ames/Harmonia Mundi ; la même année, il est élu Talent du Fonds d’Action Sacem. Depuis, il donne de nombreux concerts en France et dans le monde entier (Chine Japon, Cambodge,

    Philippines, USA, Maroc, Algérie, Liban, Burkina-Faso…), au piano comme au violon, et est régulièrement. l’invité des chaînes de radio et de télévision françaises. Il a joué aux côtés de musiciens tels que Peter Erskine, Mike Stern, Billy Cobham, Martin Taylor, André Ceccarelli, Toots Thielemans, Niels-Henning Ørsted Pedersen, Biréli Lagrène, Étienne Mbappé, Sylvain Luc, Johnny Griffin, Hein Van de Geyn ou encore Maxim Vengerov, Vadim Repin, Jane Birkin… Il crée le spectacle Le Jazz et la Diva Opus II, mis en scène par Alain

    Sachs (plus de 200 représentations en France), et fait partie du nouveau groupe Didier Lockwood and The Jazz Angels. En 2010, il compose la bande originale du film Aux Arts, Citoyens !. Lors d’une tournée au Japon en 2008, il est repéré par Itoh « 88 » Yasohachi, l’un des plus grands producteurs de jazz japonais, qui décide de produire son deuxième album, Someday My Prince Will Come,

    sorti en juillet 2009 au Japon (Blue in Green/Universal) et en mars 2010 en France (Ames/Harmonia Mundi).

    Avec son nouveau trio de jeunes musiciens (Nicolas Charlier à la batterie et Chris Jennings à la contrebasse),

    Thomas Enhco explore et mélange les éléments qui font sa culture (jazz, musique classique, pop/rock) avec une intelligence et une énergie fantastiques.

    Il forme également un duo explosif (piano et marimba) avec la jeune percussionniste classique Vassilena Serafimova.

    En octobre 2010, Thomas Enhco remporte le 3ème prix du Concours international de piano jazz Martial Solal.

    En novembre 2010, il remporte le Django d’Or « Nouveau Talent » pour son album Someday My Prince Will Come.

    Tout au long de l’année 2011, il est à l’affiche de salles et de festivals en France, au Liban, en Syrie, en Jordanie, en Russie, en Espagne, au Canada, en Nouvelle-Calédonie, au Japon, à Madagascar… Il donnera cette année plus de 130 concerts, composera une musique de film et enregistrera son nouvel album à l’automne.saison 12/13

    PRESSE

    « Son visage a gardé les traits de l’enfance mais quand il s’installe devant son piano, Thomas Enhco n’est plus à l’heure des apprentissages. Ce jeune homme de 23 ans qui vient de publier son 3ème album Fireflies dévoile une maturité et une technique impressionnantes qu’il doit sans nul doute à sa double formation classique et jazz. »
    France Info

    « En prenant le parti de composer entièrement les treize pièces de cet album – à l’exception d’une reprise – Träumerei in Kinderszenen, Op 15 de Robert Schumann, le jeune pianiste prodige s’affirme déjà comme un musicien majeur de sa génération, un compositeur qui place la mélodie au centre de tout, et un leader improvisateur à la personnalité fascinante qui maîtrise les codes, sublime le discours et ancre sa musique dans une certaine idée du lyrisme. »
    France Musique

    « Avec son trio, Thomas explore et mélange les éléments qui font sa culture (jazz, musique classique, pop/rock) avec une intelligence et une énergie fantastiques. »
    Jazz au phare

    « On savait le petit-fils prodige de Jean-Claude Casadesus doté d’un doigté hors du commun, il lui restait à prouver des qualités d’écriture à la hauteur. C’est chose faite avec ce disque (…) Thomas Enhco couche ses idées des plus variées comme il laisse filer ses doigts sur le clavier : en parfaite maîtrise de l’étendue des possibles, de l’improvisation facétieuse à l’introspection quasi-silencieuse, laissant percer une touche romantique héritée de ces années classiques. »
    Jazz News

     

     

     

    Fermeture

    SAMEDI 29 NOVEMBRE 2014 :

    20h30 - Carte Blanche à Michaël CHERET / Soirée Jazz Cool West Coast

    Carte Blanche à Michaël CHERET

    www.michaelcheret.com

     

    Soirée Jazz Cool West Coast

    1ère partie

    “Ivan Baldet quintet featuring Michael Cheret Al Cohn &  Zoot Sims tribute” 

    Teaser video ici :

    « Al Cohn & Zoot Sims remembered »

    « Ivan et Michael vous proposent de revivre cette musique incandescente de swing, sur les traces de ces deux grands maîtres du saxophone un peu oubliés car contemporains de Coltrane et Rollins.

    L’écriture pour quintet de Al Cohn, retranscrite méticuleusement par le groupe, révèle toute l’originalité et l’élégance de ces deux messieurs qui faisaient partie dans les années cinquante des « Four Brothers », avec Stan Getz.

    Ils étaient alors les rois du swing de la cote West , fondateurs du West-coast Jazz, jazz cool par excellence… »

    Musiciens : Ivan Baldet (sax tenor) Michael Cheret (sax tenor) Olivier Truchot (piano) Cédric Perrot (batterie) Patrick Maradan (contrebasse)

    www.ivanbaldet.com

    http://www.youtube.com/watch?v=OXp0yAKPn1A&feature=youtu.be

    2ème partie

    Un groupe rare et superbe de 12 musiciens de toutes la région RA , pour rejouer un répertoire de légende :

     

    Art Pepper + 11 remembered Art Pepper featuring Michael Cheret

     

    Teaser video ici :

    https://www.youtube.com/watch?v=FlnhpBT4Ilo

    Une occasion rare d’écouter Live ce magnifique  répertoire  issu d’un album aujourd’hui  au panthéon des incontournables du jazz : Art Pepper + 11.

    Douze musiciens réunis pour rejouer cette sélection de standards au swing millimétré, orchestrés de main de maitre par Marty Paich en 1959, pour mettre en valeur le saxophone alto qui sera tenu ici par Michael Cheret.

    Les musiciens :

    Michael Cheret  (lead sax alto), Aurélien Joly  (trompette 1), Vincent Stefan (trompette 2), Gaby schenke (sax alto), Robinson Khoury, Jules Boittin (trombones) , Vincent Perier (sax ténor, clarinette), Jean Marc Gomez (sax baryton), Mickael Ourliac (tuba), Olivier Truchot (piano), Cédric perrot (batterie), Patrick Maradan (contrebasse).

    • Art Pepper :

    « La West Coast…. Qui s’y aventure s’y repose,
 et n’en attend rien de plus que ce repos sans engourdissement 
parmi des ombres et des clartés qu’un vent frais balance dans la tiédeur,
 dans un espace clos où l’on voit miroiter au loin, par des trouées, la mer. »
    Jacques Réda in Niehaus Garden, Jazz Magazine, 1995

     

    Le Cool Jazz n’est pas à proprement parler un « style », c’est en fait un courant de jazz datant des années 50 (bien qu’on en trouve déjà des prémices dans les années 20 et 30 chez des musiciens tels que Lester Young et Bix beiderbecke). A cette époque, le Be Bop est le style pratiqué par la plupart des musiciens de Jazz.

     

    Le Cool Jazz se caractérise en fait par une interprétation plus détendue, un son plus doux et sensuel, un phrasé peu accentué et très peu de vibrato. Les lignes mélodiques sont plus lentes, et harmonieuses, les arrangements très raffinés. C’est aussi un Jazz « de chambre ». Les formations n’excèdent pas une dizaine de musiciens. Lester Young est l’idole des musiciens de Cool. Le répertoire est varié, il peut emprunter au swing de Count basie, aussi bien qu’aux pièces de Davis ou au néoclassicisme des orchestres blancs.

    Il a été dit que ce mouvement reflétait l’ambiance d’après guerre, plutôt pessimiste, intellectuelle et ne sortant pas trop d’une certaine réserve sur le plan émotionnel. Il rencontrera le succès bien plus tard.

    L’initiateur du mouvement est Miles davis, trompettiste (1926-1991). En 1948, il recrute des musiciens (Gerry Mulligan, John Lewis, Lee Konitz, mais aussi Gil Evans). Tous participeront à l’élaboration de « Birth of the Cool« , Gil Evans étant l’arrangeur. Cet album va rester l’emblème du mouvement Cool, mis à part les enregistrements du quartet et du tentet de Mulligan.

    En marge de cette école, il faut citer le pianiste Lennie Tristano qui, avec Lee Konitz et Warne Marsh va définir une esthétique Cool plus ascétique, qui se concentrera encore plus sur les lignes mélodiques des morceaux.

    Mais le Cool Jazz c’est aussi le célèbre quintet de dave Brubeck et Paul Desmond.

    Les représentants du Cool Jazz les plus connus sont donc: Miles Davis, Chet Baker, Gerry Mulligan, Lennie Tristano, Lee Konitz, Dave Brubeck et Stan Getz.

    En 1951, l’album de Rogers, « Modern Sounds » et les enregistrements de Gerry Mulligan avec son quartet sans piano avec Chet baker (1952) sont les plus représentatifs du genre.

    Leurs influences: le Be Bop pour sa virtuosité et ses innovations), Lester Young (et son jeu détendu, Lennie Tristano (son expérience pré-free), le Swing de Count Basie, et les compositeurs du XXe siècle tels que Ravel et Debussy.

    Ils savent lire les partitions et ont une solide formation musicale (contrepoint, harmonie, musicalité de l’interprétation). Les arrangements sont écrits et soignés, la musique écrite et l’improvisation sont intimement liées. D’autre part les formations incluent des instruments de l’orchestre symphonique tels que le Cor, le Tuba, ou le Hautbois. C’est un peu une fusion du jazz et du Classique.

    L’album « Birth of the Cool » , en deux sessions fut enregistré en 1949 et 1950. La formation: un nonette (9 musiciens, dont Miles davis, Gerry Mulligan, Bill Barber, John Lewis, Lee Konitz et Kenny Clarke). Les arrangements sont de Gil Evans. L’album fut un échec commercial, bien qu’il ait inspiré des générations de musiciens par la suite, y compris le style « acidjazz » des groupes comme Portishead ou Massive Attack, mais aussi Björk ou Jamiroquai.

    Cet album marque un tournant essentiel dans l’histoire du Jazz. Miles davis, lors de son voyage en Europe à Paris a découvert l’existentialisme, il en résulte une méfiance et une remise en question de l’expression jusque là plutôt extravertie des sentiments. Miles davis va rechercher un nouveau son. Il voudrait réconcilier le raffinement du Big Band et la tranparence des petites formations. L’orchestration sera donc légère (trombone, tuba, cors, saxophones). Cela donnera naissance à une musique calme, cristalline mais non privée d’énergie, simplement elle est plus abstraite, plus intellectuelle, plus « froide ». Les solos mettent en valeur le son global de la formation plutôt que l’interprète soliste. La notion de temps (carrures, tempo) aussi est changée. Cela se voit particulièrement sur 2 compositions: « Jeru » et « Godchild« . La carrure habituelle de 4 temps du jazz disparaît, le nombre impair de temps ou de mesures introduit une asymétrie dans la forme, il y a donc une fusion de l’arrangement et de l’improvisation, comme je l’ai dit. Jusque là on n’avait pas trop touché au cadre des morceaux, sauf peut-être Ellington qui associait ses standards à de grandes formes classiques comme le concerto, la symphonie, etc).

     

     

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    DIMANCHE 30 NOVEMBRE 2014 :

    10h30 - Apéritif - Tremplin junior jazz - Concert gratuit

    Rencontre de formations de jeunes musiciens en herbe (entre 7 et 16 ans) formés dans les écoles de musiques des communautés de communes régionales (Porte Ouest de la Dombes – CAVIL)

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    15h00 – Géraldine Lefrène – ''Chansongs, Monsieur Nougaro''

    1ère partie à 14 h 30 : Lauréat Tremplin Jazz 2013

    15 heures : Hommage à Claude Nougaro

    « Toutes les musiques sont bénies, d’où qu’elles viennent quels que soient leurs nids, elles appartiennent à l’âme humaine »» Claude Nougaro

    https://www.youtube.com/watch?v=q5B6Yr_cAZc

    nougaro-575x658 

     

     

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    Et chaque soir dès 19h30 le Samba Jazz Group (Olivier Truchot, Zaza Desiderio, Thibaut François et Claude Bakubama)